J'étais d'astreinte les nuits des 13 et 22 novembre derniers.
J'ai été surpris de constater que ces heures d'astreintes ne figuraient pas sur mon bulletin de salaire et qu'aucune contrepartie n'était prévue.
Or, l'article L. 212-4 du Code du travail rend obligatoire la compensation des astreintes, soit sous la forme d'une compensation financière, soit sous la forme d'un repos.
Je vous saurais gré de me faire des propositions allant dans ce sens.
En vous souhaitant bonne réception et restant à votre disposition, je vous prie de croire, Apostrophe, en l'assurance de ma sincère considération.